L'intégrale tome 1
Œuvres anthumes (1921-1939)
de René Guénon
Extrêmement exigeant dans sa quête initiatique, René Guénon s’applique tout au long de sa vie à l’étude des principales doctrines existantes ainsi qu’à l’infiltration des diverses sociétés secrètes et ésotériques de son temps afin de mieux les remettre en question et produire leurs critiques, « détruisant » ainsi spiritisme, théosophisme et occultisme, réfutant entre autres leurs théories fondatrices.
Dans le tome 1 de l’intégrale de René Guénon, sont regroupés les titres qui suivent :
Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues (1921-1952) ;
Le Théosophisme, histoire d’une pseudo-religion (1921-1928) ;
L’Erreur spirite (1923) ;
Orient et Occident (1924-1948) ;
L’Ésotérisme de Dante (1925-1949) ;
L’Homme et son devenir selon le Vêdânta (1925-1947) ;
Le Roi du Monde (1927-1950) ;
La Crise du Monde moderne (1927-1946) ;
Saint Bernard (1926-1929) ;
Autorité spirituelle et pouvoir temporel (1929-1947) ;
Le Symbolisme de la Croix (1931) ;
Les États multiples de l’Être (1932) ;
La Métaphysique orientale (1939).
Broché : 1106 pages
Editeur : Hades éditions (avril 2020)
Langue : Français
ISBN-10 : 9791092128
ISBN-13 : 9791092128963
Dimensions du produit : 21 x 29,7 x 5,6 cm
René Guénon, également connu sous le nom d’Abd al-Wâhid Yahyâ, né le 15 novembre 1886 à Blois, en France, et mort le 7 janvier 1951 au Caire, en Égypte, est un métaphysicien français. Il a publié dix-sept ouvrages de son vivant, auxquels s'ajoutent dix recueils d'articles publiés à titre posthume, soit au total vingt-sept titres régulièrement réédités. Ces livres ont trait, principalement, à la métaphysique, à l'ésotérisme et à la critique du monde moderne. Dans son œuvre, il se propose soit d'« exposer directement certains aspects des doctrines métaphysiques de l'Orient », doctrines métaphysiques que René Guénon définissait comme étant « universelles », soit d'« adapter ces mêmes doctrines [pour des lecteurs occidentaux] en restant toujours strictement fidèle à leur esprit ». Il ne revendiqua que la fonction de « transmetteur » de ces doctrines, dont il déclarait qu'elles sont de nature essentiellement « non individuelle », reliées à une connaissance supérieure, « directe et immédiate », qu'il nomme « intuition intellectuelle ». Lire la suite...